L'OR "INVESTISSEMENT", c'est de l'or comme les autres ...
Lorsqu’on évoque l’or « investissement », on ne s’attend pas forcément à trouver cette rubrique chez un bijoutier … De fait, on imagine que les « placements », la « retraite », ce serait plutôt une affaire d’assureurs, ou de banquiers…
La réalité récente c’est que les banquiers, ils vendent désormais des « produits financiers », qui sont des « papiers », généralement sous formes de « contrats », qu'ils n'impriment même plus eux-mêmes, qu'ils vous envoient pas e-mail, et qu'il vous font signer numériquement... Cela fait des années que le secteur bancaire a déserté le secteur de l’or « physique », car l’or physique, ça pèse très lourd, c’est très dangereux, il y a plein de contraintes et de normes à respecter.
Bref, un banquier aujourd’hui, c’est une personne qui est devant un ordinateur toute la journée, qui « gère » de l’argent essentiellement « numérique », c’est-à-dire « non physique ». De plus, avec le développement de la Bourse et des transactions numériques rapides, fréquentes, on ne peut pas dire que les banquiers aiment voir l’argent de leurs clients dans des barres d’or dormant, que celles-ci « dorment » dans des coffres ou sous des matelas…
L'argent numérique est fragile et menacé.
L’autre réalité bancaire, c’est que les chiffres de vos « comptes », que vous voyez sur un écran, d’ordinateur ou de téléphone, ces lignes, ces colonnes, et même ces « soldes », ils sont « vides ». Derrière ces chiffres, il n’y a « rien ». En tout cas, il n’y a pas d’argent réel, et encore moins d’équivalence en quoi que ce soit de « physique ».
L’argent que vous avez « déposé » à la banque, sur votre « compte », même sur un compte dit d’épargne ou « de livret », a été consommé par la banque, et la banque ne l’a plus. Elle dit qu’elle l’a « placé », et c’est vrai, mais en réalité, elle l’a « dépensé » ! Et comme elle ne l’a plus, elle peut être bien ennuyée si d’aventure tous ses clients venaient rechercher en même temps tout ou partie de l’argent déposé.
Aujourd’hui, tout le monde le sait.
Tout le monde a prétendument besoin du « système bancaire » pour vivre, mais tout le monde a perdu confiance dans ce système. On espère qu’un matin on ne va pas trouver ses comptes, sur internet (ou à l’Agence), « à zéro », mais on sait que cela peut arriver.
Les banques aussi le savent. Elles le savent tellement qu’elles ont même prévu leur irresponsabilité en cas de situation fatale : c’est contractuel ! Il y a des clauses, des lois, qui le prévoient. (Voir les lois dites « Sapin1 » et « Sapin2 », du nom d’un ex-Ministre des Finances français, qui prévoient toutes sortes de règles pour limiter le devoir de restitution des banques « en cas de nécessité », de guerre, ou de catastrophes sociale, etc…)
Quand la menace se fait pressante, VITE ! UN REFUGE !...
Si cela arrive, si le système bancaire fondé sur le principe de l’ « argent-dette » s’effondre, si le volume exponentiel de « liquidités imprimées » ne résout pas la crise financière mondiale mais l’aggrave, jusqu’à l’explosion, on ne sait pas vraiment ce qui se passera. La seule chose que l’on sait, c’est que nous serons nus comme des vers, incrédules et nus, et les banques, elles, irresponsables.
C’est pourquoi, même si l’on n’y croit pas vraiment, on cherche tous « quelque chose » qui nous rassure, quelque chose comme un refuge. Et ce refuge, en matière d’épargne, en matière « d’argent de côté », il porte un nom : c’est l’or.
Problème : maintenant que les banques ne fournissent plus d’or physique, qui va en fournir ? Où en trouver ? Comment s’en procurer ?...
De l'or, oui, mais comment ? en PIECES ou LINGOTS ?
Depuis les années 1990, la plupart des Fondeurs internationaux se sont lancés dans la production de ce que l’on appelle désormais « des lingots en petites coupures », c’est-à-dire des « petits lingots », des lingots de « petit poids » ou « lingotins ».
En effet, jusqu’à cette époque, les gens qui voulaient transformer leurs économies en or devaient acheter soit un kilo d’or (un « lingot », donc) soit une ou des « onces » (équivalent d’un peu plus de 30 gr. d’or fin, dans une forme physique mal commode, surtout répandue dans le marché Anglo-Saxon). Ces « grosses masses » d’or étant peu pratiques, tout le monde se rabattait sur « les pièces ».
Les défauts des pièces
Mais les pièces ont deux défauts : tout d’abord, elles ne sont pas en or fin, (mais en or allié), ce qui contrarie leur cours et leur fonctionnement vis-à-vis de l’or fin, (car leur « retraitement » a un coût) et ensuite, le marché des pièces est devenu fou. Il est devenu invivable, insupportable, à cause de deux choses qui affectent les pièces :
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Premièrement, les frais parasites et opaques des marchands et collectionneurs, appelés « primes » et
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Deuxièmement, les incertitudes sur l’« état extérieur » de certaines pièces, qui affectent leur valeur. Ainsi, lorsqu’une pièces atteint une valeur exceptionnelle de « rareté », le système médiatique a tendance à appliquer cette valeur « de rareté » à la totalité des pièces en circulation. Ce processus de « qualité extérieure » a conduit des organismes de « grading » à « grader » les pièces, (selon des critères sujets à contestation…), et moyennant finance, bien entendu, ce qui affecte encore le prix de certaines pièces…
Au final, vis-à-vis des pièces, les gens pensent qu’elles valent « beaucoup plus » que leur « pesant d’or », parce qu’Internet diffuse des mensonges perpétuels sur ce sujet, mensonges impunis en forte croissance, qui deviennent tellement courants qu’on a l’impression qu’ils constituent la vérité.
Les qualités des lingots.
Et pendant que les polémiques sur la valeur des pièces deviennent inextricables, les Fondeurs-Raffineurs, donc, se sont entendus pour « frapper » des lingotins de 5, 10, 20, 50, ou 100 grammes (et davantage) en OR FIN, (or pur, non allié), qui sont devenus, au fil du temps, de véritables « produits » à succès. Ce succès des « lingots du pauvres », (comme on les appelle parfois …), est aussi lié à la norme de sécurité qui a été mise en place par ces organismes à proportion du développement de la contrefaçon.
En effet, rien n’était plus falsifiable qu’un lingotin anonyme : il suffisait de recouvrir d’à peine 10 microns d’or fin une plaque de tungstène pour faire croire à un « véritable » lingotin.
Désormais, tous les Fondeurs-Raffineurs sérieux sont agréés par le LBMA (London Bullet Market Association), organisme indépendant, garant de la véracité de l’or pour CERTIFIER tous les lingots façonnés par eux. C’est ce qu’on appelle la « certification de l’or ». Au 1er Janvier 2025, il n’y a que 66 raffineurs dans le monde qui soient agréés par le LBMA. C’est dire si les critères d’agrément sont sévères.
Cette « certification de l’or », véritable « garantie de sécurité », c’est la norme « Good Delivery » qui, lorsqu’elle est apposée sur un lingotin, certifie à 100% que « c’est bien de l’or fin ». Malgré le coût que cela représente, il est donc fondamental de ne traiter en « or physique d’épargne » qu’avec des organismes qui sont agréés par le LBMA, lesquels « certifient » l’or qu’ils produisent en lingotins.
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Cet accroissement de procédures en faveur de la sécurité des transactions en or physique a propulsé les lingotins tout au sommet de la hiérarchie des « produits » en or physique d’épargne, désormais loin devant les pièces, dont les trafics en tous genre continuent de menacer leur « véritable » valeur, sans parler de la contrefaçon qu’elles subissent elles aussi, et qui devient d’une redoutable perfection…
Or donc, TRESORUM, artisan bijoutier issu d’une longue pratique de « l’or » sous toutes ses formes, considère que l’or pur dit « d’investissement » est une matière toute aussi noble que l’or « métal à travailler », ou l’or des bijoux, et qui mérite une attention particulière, non pas pour la spéculation qu’on lui prête, mais pour la valeur refuge qu’il est réellement en matière d’épargne, surtout au regard des menaces qui pèsent sur l’épargne bancaire et tous les « placements » numériques.
A travers TRESORUM, nous sommes donc agréés par le COMPTOIR CLAL de LYON pour vendre des lingotins « d’or investissement », et permettre ainsi à nos amis clients de transformer leur épargne numérique en matière sonnante, trébuchante et rassurante. Nous ne vendons QUE de l'or fin certifié. N'hésitez pas à nous contacter.
N’hésitez pas à nous demander notre désormais célèbre « OAV » (Ordre d’Achat Vierge), document sans engagement qui vous fournit le prix de tous les lingotins pour des transactions de gré à gré en or physique.
Vous pouvez aussi lire notre document « 5 questions sur l’investissement en or physique d’épargne », qui répond aux principales questions sur cette matière technique et délicate.