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La joaillerie

5 QUESTIONS à SE POSER avant de choisir une bague de joaillerie.

 

  1. Une bague, oui, mais laquelle ?

  2. Matières et pierres : elles sont précieuses.

  3. Synthèse, contrefaçon, numérisation.

  4. Marques, mondanité, médiatisation.

  5. Tyrannie de la mode et mensonges volontaires.

 

 

1- Une bague, oui, mais laquelle ?

Aujourd’hui, tout semble très simple : dès qu’on veut quelque chose, on « tape dans son navigateur » (c’est-à-dire sur son téléphone, pour 90% des gens) « ce que l’on veut » et des centaines de milliers de réponses arrivent : c’est magique !

 

Toutes les jeunes femmes du monde ont déjà « tapé » « bagues de fiançailles » ou « bagues de mariage » et ont passé des heures devant ces merveilles.

 

Les heures et les heures passées devant ces vitrines virtuelles leur laissent penser qu’elles savent ce qu’elles veulent, mais quand il faut en choisir 3, puis une seule, c’est très difficile…

 

Finalement, les femmes envoient à leur chéri 3 photos de bagues un jour, puis 3 autres photos le lendemain, puis 5 autres le WE suivant, et ensuite, tous les téléphones sont saturés de photos de bagues « qui lui plairaient bien »…

 

Donc, reposons la question : une bague, oui, mais laquelle ?...

 

La chose principale à savoir à propos d’internet, c’est que 90% des bagues que vous allez voir en photos n’existent pas dans la vraie vie : ce sont des bagues virtuelles, publiées à l’aide de logiciels de CAO (Conception Assistée par Ordinateur) en mode « rendu réaliste ».

 

Et celles que vous voyez tout en haut des requêtes, celles « des premières pages », sont celles dont les marchands ou les fabricants ont payé très cher pour être là.

 

Internet est aujourd’hui un outil de promotion de marques ou de produits de « gens qui payent » : on dit qu’ils savent « correspondre aux algorithmes », mais ces formules cachent une réalité bien connue maintenant : les premières places des requêtes sur Internet, que ce soit par « mots » clés ou autrement, elles s’achètent …

 

Non seulement il faut être conscient de ces manipulations (qui se font à votre insu), mais en outre, il faut être très critique sur le « produit » car parfois, le « rendu réaliste » est tellement réaliste qu’on croirait voir une vraie bague….

 

Or, lorsqu’on voit des photos, on ne sait rien des diamants, des pierres, des façons de faire, des poids, jusqu’à la nature de l’alliage qui, souvent, n’est même pas mentionnée …

 

La plupart des gens ignorent que désormais, un bijoutier du Cantal peut parfaitement mettre sur son site une bague virtuelle qui provient d’un « fabricant » américain, dont la CAO a été faite à Singapour, a été fondue par un fondeur Lyonnais, et sertie par un atelier de la banlieue parisienne… avec une mise en scène de ses propres mains en action.

Bref, quand on est dans le monde du mensonge, on rivalise de malice pour faire croire des choses, et l’œil pressé (et inculte) des visiteurs, y croit. Tout cela n’est pas écrit sur les sites.

 

Aujourd’hui, des « mises en scène » de 20 secondes extrêmement sophistiquées sont destinées à vous faire "pleurer" sur un modèle idéal et virtuel qui n'existe pas, et qui a même, sans doute, été proposé par l'IA.

 

2 – Matière et Pierres : elles sont précieuses et difficiles à évaluer.

 

Malgré tous les efforts du marketing pour vous cacher la vérité, il faut quand même répondre à cette question : qu’y a-t-il dans le prix une bague de joaillerie ?

 

Il y a du métal (précieux), des pierres (précieuses), du travail (« la façon ») et des frais généraux.

 

Ces 4 « postes », il faut bien les évaluer pour savoir quelle proportion ils représentent dans le prix des bijoux.

Et donc, pour évaluer ces différents postes, il faut un peu les connaître.

 

Quand on « n’y connait rien », INTERNET est fait pour vous faire avaler tout ce qui passe dans tous les « flux » sur le sujet, sans que vous sachiez, à la sortie, si ce sont des sottises ou des vérités.

 

Attardons nous sur l’un de ces postes : les pierres précieuses et posons la question : quels sont les critères de qualité des pierres précieuses ? Ce sont ces critères qui vont déterminer leur prix et généralement, personne n'en parle.

 

En matière de gemmes, rappelons qu’on parle de « prix au carat », lequel « carat » n’a rien à voir avec le carat de l’or.

 

En bijouterie, on parle de « carat-titrage » (et cela s’adresse au métal).

 

En joaillerie, on parle du « carat-métrique », qui est une unité de poids, et cela s’adresse aux pierres.

 

D’après le GUIDE DES PIERRES PRECIEUSES de FONTANA (Ed. De Vecchi, l’un des plus reconnus dans la profession), la nature des pierres précieuses se détermine par 4 critères qui sont :

 

Leur coefficient de dureté,

 

Leur coefficient de densité,

 

Leur indice de réfraction,

 

Leur indice de dispersion.

 

Soyons brefs :

  • La dureté se définit par la résistance d’un matériau à la rayure. Pour déterminer la dureté d’une pierre, on utilise un SCLEROMETRE. Les pierres précieuses ont été classées en 10 niveaux de DURETE par MOHS.

 

  • La densité d’un corps est égale à sa masse divisée par son volume. Elle est exprimée en grammes par cm2. Pour déterminer la DENSITE d’une pierre, on utilise une balance hydrostatique ou la technique des liquides denses.

 

  • La réfraction est définie par la vitesse de diffusion de la lumière. Cet indice est le rapport entre la vitesse de diffusion de la lumière dans l’air et la vitesse de diffusion de la lumière dans la pierre. Pour déterminer l’indice de REFRACTION des pierres, on utilise un réfractomètre, ainsi qu’un tableau international qui classe toutes les gemmes, y compris les pierres synthétiques.

 

  • La dispersion, c’est le phénomène de décomposition d’un rayon lumineux lorsqu’il traverse une gemme. On ne le voit pas à l’œil, mais lorsqu’une lumière blanche traverse une pierre plus ou moins « transparente », ce rayon se disperse en toutes les couleurs de l’arc en ciel. Il s’agit alors de récupérer les indices de réfraction (IR) du violet (le plus lent) et du rouge (le plus rapide) et de calculer leur différence. Cela fournit le coefficient de DISPERSION de chaque gemme. Cette mesure est effectuée par un appareil appelé SPECTROSCOPE, instrument de haute technologie dont l’utilisation n’est pas à la portée des amateurs.

 

En pratique, très peu de vendeuses en bijouterie, qui vendent continuellement des pierres plus ou moins précieuses, sont en mesure d’expliquer et de définir ces caractéristiques.

 

C’est que la gemmologie est un métier très difficile, qui nécessite énormément d’expérience. Connaitre les pierres, c’est le travail des « lapidaires », (du latin « lapida », « pierre »).

 

Les lapidaires sont des spécialistes d’une compétence rare : il y a un lien comme sacré entre eux et les bijoutiers, de sorte que, lorsqu’on en a un (sous-entendu : un sérieux et honnête), on ne change pas. (Pour vous donner une idée, en tant que TRESORUM, nous travaillons dans ce domaine avec le petit-fils d’un lapidaire, dont le Grand-Père travaillait avec notre fondateur, il y a 100ans).

 

Enfin, disons que la technologie évolue énormément dans le domaine de l’expertise en gemmologie, ce qui permet seulement à quelques rares Organisations au niveau des Etats de pouvoir suivre les coûts et le savoir-faire pour utiliser des machines et des logiciels ultra pointus, qui relèvent de l’ingénierie.

 

Tout ça pour dire que le monde de la gemmologie est un monde énorme, dense, complexe, occulte, extrêmement difficile et très ancien, qui existe depuis des millénaires. Prenons par exemple l’exercice de la « taille », (en bijouterie, lorsqu’on parle de « taille », on ne parle pas de « format ». La taille, c’est le fait de « tailler » ou de « faire des facettes », le « cut » en anglais) : eh bien « la taille » des pierres précieuses, ça existe depuis 2000 ans avant Jésus-Christ.

 

Tout ça pour dire enfin que le coût d’une pierre n’est pas simple à déterminer, et surtout, qu’il peut exister des centaines de milliers de prix différents pour une pierre qui apparait à l’œil … identique à une autre …

Ainsi en est-il pour les autres critères du bijou.

 

 

3 - Synthèse, contrefaçon, numérisation.

 

 

      1. La synthèse.

 

On ne parle pas ici de la synthèse « philosophique », qui consiste à faire un « résumé » d’une « thèse », après l’avoir soumise à son « antithèse ».

 

Non. On parle ici de la synthèse chimique, et maintenant numérique, qui permet de modifier la nature des éléments constitutif d’un corps, jusqu’à en faire un « faux » plus vrai que nature !

 

De la synthèse d’image (ou image virtuelle, dont on ne sait plus très bien si elle est véritablement vraie ou véritablement fausse…), aux protéines de synthèses, qui peuvent fournir de la nourriture chimique, tout ou presque, aujourd’hui, est l’objet de modifications par synthèse, et cette tendance se développe désormais dans le luxe ou les choses rares.

 

Or précisément, voici que la synthèse rattrape désormais la joaillerie.

 

Jusqu’à maintenant, les pierres « synthétiques » étaient devenues courantes. Mais cela ne concernait vraiment que les pierres « de couleur » (et les copies étaient tellement grossières qu’avec un peu d’expérience, on arrivait vite à les reconnaître et à la démasquer).

 

Mais depuis les années 2000, les faussaires ont fait de sacrés progrès en termes de qualité d’imitation, notamment dans la composition chimique des fausses pierres, qui ont tendance à réagir aux différents tests comme étant « vraies »…

 

Cela faisait déjà de nombreuses années qu’existaient de faux diamants, notamment sous le nom « d’oxydes de zirconium », un nom très savant pour désigner du verre, tout simplement, mais ce troublions était beaucoup trop faux pour jouer au diamant !

 

Aujourd’hui, c’est bien de synthèse dont on parle pour le diamant : le diamant, l’indomptable, « l’Adamas », le Roi absolu, si dur, si beau, si unique, si rare, si difficile à extraire du tréfond de la terre, il est servilement copié dans des laboratoires et se présente à nous dans les atours les plus magnifiques sous son appellation scandaleuse : « diamant synthétique » !

 

On nous avait dit que, lorsque tout « fout le camp », il faudrait se raccrocher à la seule chose qui demeure, la seule stable, la seule infalsifiable, imputrescible, incorruptible, inattaquable : la seule : le diamant !

 

C’était sans compter sur les forces du mal qui fricotent toujours dans l’ombre, et qui travaillent d’arrache-pied pour déboulonner les idoles !

 

Aujourd’hui, les diamantaires les plus enragés plongent dans le mauvais plan et nous proposent des diamants « synthétiques » : on croit rêver ! Pour éviter ce vilain mot (synthétique), on parle désormais de « diamants de culture » !

 

Problème : quand un beau diamant certifié vaut 10000 €, le « même », mais synthétique, vaut à peine 400 €.

 

Pire encore : il ne faut pas se tromper en les rangeant dans les coffres, car ces diamants de nouvelle génération réagissent aux testeurs comme des « vrais » !

 

Forcément, la seule chose que l’on puisse conseiller aux clientes, c’est la vigilance.

 

 

          2. Le travail.

 

Pour travailler l’or en bijouterie et l’assembler correctement avec les pierres précieuses, afin de constituer une pièce de joaillerie, il fallait réunir un grand nombre de compétences : on parlait de la « chaîne du bijou », une « chaîne » prestigieuse, composées de cerveaux et de « mains » parmi les meilleurs de la nature humaine.

 

Il est vrai que ce métier a toujours été secret. Cette « chaîne du bijou », on en entend parler, mais quels sont ses maillons ?... En général, on connaît le joaillier, celui qui signe la pièce, celui qui la poinçonne, mais les autres, qui sont-ils ?... Ce sont des gens inconnus, humbles, passionnés, des « petites mains » aux doigts « de fée » qui se fichent totalement de la gloriole, et qui exercent en sous-traitance pour « les Grandes Maisons ».

 

Aujourd’hui, avec Internet et la manie des chaînes « You-tube » ou « Instagram », on a l’impression que les ateliers sont plus visibles qu’avant. Disons que certains ateliers se sont fait les spécialistes du voyeurisme ambiant pour faire espérer qu’ils sont meilleurs que les autres. Comme si la qualité (ou l’honnêteté !) d’un joaillier pouvait être perceptible aux profanes en raison de 2 minutes de vidéo manipulées par des Agences de com ?...

 

Ce qui se passe aujourd’hui dans les ateliers, c’est l’évolution « normale » issue de la numérisation : en joaillerie plus qu’ailleurs, les ordinateurs, avec des logiciels de CAO ultra puissants, ont remplacé les créateurs de dessins et les réalisateurs de maquettes : désormais, tout le monde travaille devant des écrans, c’est-à-dire sur des volumes virtuels, dont la plupart sont déjà « proposés » par les logiciels ou par l’incontournable IA.

 

Puis, avant de quitter « l’atelier », à 17h, on envoie les « fichiers » au fondeur par Internet.

 

Chez le fondeur, dans le silence de la nuit, les imprimantes « 3D » façonnent les maquettes.

 

Le lendemain, on va chercher chez le fondeur des « produits » sur lesquels aucune main de l’homme n’a jamais mis la main !

 

Ce qui était auparavant un travail « de la main », avec des heures de pratique à la cheville, est devenu un travail « de bureau », devant des écrans, que de très nombreux « artisans » effectuent depuis chez eux, ou du bout du monde.

 

C’est ainsi que 95% des pièces de joaillerie sont essentiellement devenues des « fichiers numériques ». Les modèles sont « en mémoire », dans les « cloud ». Sur les sites internet, des agences de com publient des photos de « rendu réalistes », c’est-à-dire des produits « virtuels » ultra « retouchés », qui n’ont encore jamais été fabriqués.

 

4- Incidence des « marques » et de la mondanité en Joaillerie.

 

Un de mes amis bijoutiers lyonnais qui travaillait en sous-traitance pour une grande marque de Joaillerie, me racontait ceci :

« Lorsque le bijou terminé sortait de mes mains, il avait une valeur de 1000. J’avais des papiers, des valeurs, des assurances… Je voyais bien les prix… Y avait tout un plan pour la sécurité en cas de braquage… Lorsque le bijou arrivait à Paris, dans les vitrines de la Place Vendôme, il prenait un coefficient de 6 !... » 

 

Ce bijoutier parle à l’imparfait car depuis, son fils a pris sa succession. Mais le fils a perdu ce marché avec la Place Vendôme : il a fait faillite. Il a fermé.

 

Ce qui fait passer un bijou de 1000 à 6000 €, en entrant juste dans un écrin au nom prestigieux, c’est ce qu’on appelle les « frais généraux » ou « le prix du Prestige » !

 

En réalité, ces grandes marques, on les appelle « grandes » parce qu’elles sont riches. Et puisqu’elles sont riches, elles peuvent s’offrir des pleines pages dans les magazines de luxes ou les hebdos ou les sites de luxe, ou faire du sponsoring dans le cheval, dans le golf, dans la voile, dans la Formule1…

 

Donc, très en amont de la vente, il y a ce que l’on appelle le « plan marketing » du bijou, c’est-à-dire un véritable plan de communication, qui doit « donner envie » aux femmes de désirer ce bijou plutôt qu’un autre, bref, c’est tout un décorum mondain au cours duquel des mannequins ou des « stars » sont engagées pour porter tel ou tel bijou, pour faire des « shootings », etc. Publicité désormais ordinaire ….

 

On peut parfaitement être sensible à cette mise en scène. La seule chose, c’est de comprendre son coût, et de bien évaluer le fait que cette grande parade n’ajoute pas un millimètre de qualité en plus au bijou, ni au travail du bijoutier, ni au prix du métal (précieux) ni à celui des pierres (précieuses).

 

Un autre de nos clients, qui avait parfaitement compris le truc, avait, lui, fait le raisonnement inverse : il était arrivé chez nous avec une photo de bague dans son téléphone. Il savait parfaitement ce qu’il voulait. Ce ne fut pas long : « voilà, dit-il, la bague que je veux ». Puis il fit un grand silence….

 

Pendant ce grand silence, nous avons examiné sous toutes les coutures cette somptueuse bague. Nous avons agrandi, avec nos petits doigts musclés, sur l’écran, tous les détails. Tel anneau, telle sertissure, telle pierre, telles « navettes », qui ornaient l’entourage : une merveille, vraiment !

 

Finalement, rompant le silence qu’il avait provoqué, notre visiteur nous dit : « elle est belle, n’est-ce pas ?... Je l’ai vue à Genève ! Ma femme l’adore ! Mais lorsque je dis que je veux la même, oui… je veux la même, même forme, même couleur de pierre, tout ça, mais je la veux … 20000 euros moins chère !... »

 

Et voilà comment nous avons fait pour 6000 € une jolie bague qui était marquée 26000 € à Genève, dans une boutique de luxe…

 

Où il est important de bien comprendre ce qu’il y a dans le prix d’une bague et surtout, de bien évaluer le taux des frais généraux que l’on peut avoir à payer, d’une boutique à l’autre, d’un site à l’autre : cela va de 10 à 70% du prix du bijou, et c’est « du vent » : le prix de la marque …

5- Evolution, tendances actuelles…

La tendance est claire : aujourd’hui, 98 % des modèles de bagues arrivent sous les yeux des gens par internet, dont plus de la moitié sur les téléphones portables.

 

Ce n’est plus la peine d’aller « lécher les vitrines » puisque la vitrine est dans votre poche, dans votre sac à main.

Chacun regarde ces petites merveilles sur sa petite lucarne, pendant les heures de cours, les heures de travail, les heures de trajets, les invitations, les conférences, les insomnies, et parfois le temps libre, bref : tout le temps.

 

En pratique, on pense que cette tendance devrait « former » les gens à ce métier exigeant qu’est la joaillerie, mais c’est le contraire qui se produit. En effet, on ressort de la machine à laver « internet » en voyant moins clair qu’avant d’y être entré. Et c’est normal.

 

Lorsqu’on voit des centaines de milliers de modèles, qu’on lit des dizaines de milliers de textes contradictoires, dont plus de la moitié sont des mensonges, qu’on regarde des centaines de vidéos manipulées, on a l’esprit, disons, embrouillé. Tel est le résultat de la quasi-totalité des recherches effrénées sur Internet.

 

Donc, voici notre conseil :

  • Que vous cherchiez le modèle de vos rêves sur Internet ou sur des sites, nous n’avons aucun moyen de l’empêcher. Il faut quand même bien connaître certains pièges propres à Internet, lesquels n’ont rien à voir avec le sujet Joaillerie.

  • Méfiez-vous surtout des « mises en scène » et des vidéos manipulées, qui font « pleurer les chaumières » ou qui changent de vue toutes les secondes ou davantage,

  • Songez à ce quelque chose « d’éternité » que représente une bague de fiançailles ou une bague d’anniversaire,

  • Essayez de trouver un ou des symboles que vous aimez, qui puisse être représentés dans cet objet mythique,

  • Ne cherchez pas systématiquement l’extravagance, sous prétexte de ne surtout pas faire « comme maman », ou comme « tout le monde »…

  • Privilégiez les modèles « existants » (c’est-à-dire les photos de bagues « réelles » plutôt que les bagues « virtuelles ») … si vous arrivez à les reconnaitre.

  • Enfin, soyez sobres et vigilants(tes) … car le marketing sophistiqué rode autour de vous comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer… et il n’est pas facile de se défaire de ses griffes : qui sera sa prochaine victime ?......

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